6 Months Later…

… Everything is going smoothly. Well, as smoothly as one can hope during a PhD. I’ll spare you the uneventful details of what has turned out to be an interesting yet surprisingly peaceful transition. New(ish) city, different university, not enough time and a countdown until my upgrade, which hopefully will make me able to move on to my fieldwork next Autumn. I’ll write soon a bit more about my research.

For now, let’s go straight to business: last Friday, I participated in an interdisciplinary research forum dedicated to « Material Properties » and hosted by the Slade Research Centre (btw, they have a nice exhibition going on around materiality / immateriality). I presented, along with Anaïs, an Anthro MA student specialized in design, a practical exploration of digital infrastructure through cables.

Here are the slides and don’t forget to visit the website (http://complexcables.tumblr.com) which showcases the video and all the materials mentioned in the presentation.

Special thanks to Anaïs of course, but also to the Properties / Weaving RRG at UCL Anthro, Nick Booth, my flatmate Johann who gave me a crash course in all things Internet infrastructure related and my other flatmate / video editor Hinnaa.

Other than that, if you’re a postgrad (or not !) in London, we set up a new study group, hosted by the Anthro Department, and dealing with video methods in ethnography and social sciences: VIDEOGRAPHY. Feel free to pop in or drop me an email if you want to join the fun.

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Liens 25/06

Follow-up commentaires : la question de la concentration de l’accès à plusieurs milliards de personnes par un seul groupe satellitaire tandis que les scandales d’écoute et de surveillance par les Etats font rage, la question du droit à la connection VS les droits et besoins fondamentaux dans les zones en développement les plus pauvres, la question de la construction des relais à terre (souvent à charge des gouvernements) ainsi que de l’équipement individuel et de l’éducation à la techno.

  • #Sghaze : Greenpeace appelle les internautes à se mobiliser contre la destruction de forêts créant incendies et pollution de l’air inédite en Asie du Sud-Est.

Follow-up : la Chine aussi commence à étouffer.

Crowdfunding, aides publiques et nouveaux modèles de presse en ligne : quelles solutions ?

A vos carnets et vos Google Agendas !

La semaine s’est caractérisée par le lancement de L’Opinion, un nouveau journal qui fait le pari du bimédia papier / web, l’annonce (ou fausse annonce…) un peu moins enthousiasmante de la confirmation de la récession accompagnée de la baisse des allocations pour 15% de foyers français… L’Etat est de plus en plus à sec, les entreprises sont moroses, les coups de gueule se multiplient concernant l’utilisation de la précieuse manne publique et surtout sur le positionnement des médias recevant de l’aide publique.

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Y a-t-il vraiment une manne d’ailleurs et à qui profite-t-elle ? Comment est-elle attribuée et comment contribue-t-elle à aider l’entrepreunariat et l’innovation numérique ? Qu’en est-il alors de la raison d’être de la presse, sa déontologie, sa fonction de contre-pouvoir et son autonomie ?

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C’est un sujet que le Social Media Club abordera mercredi prochain en s’interrogeant sur le statut particulier de la presse, notamment en ligne, à l’heure où des Mediapart, des projets crowdfundés émergent et tentent de diversifier leur business model pour se financer.

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2 tables rondes et 1 dataviz en direct conçue par l’Open Knowledge Foundation auront lieu.

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Les invités : délégués politiques, députés et syndicats de la presse, spécialistes universitaires, Le Kiosk, L’Equipe 24/24

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L’inscription se fait ici et vous pouvez utiliser ce code de réduction pour assister à l’événement gratuitement : MISC2205.

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N’hésitez pas à lire le très bon article d’introduction du spécialiste des médias et de la presse Erwann Gaucher :

« Un demi-milliard d’euros dépensés pour aider la presse et pourtant, elle continue d’aller mal. Un système jugé obsolète et peu incohérent dans le rapport de Michel Françaix, l’un des invités du débat de la semaine prochaine : l’Etat doit-il financer la presse ? »

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Vous pouvez d’ores et déjà poster vos questions sur Twitter avec le hashtag #SMCF. Un beau débat et des questions essentielles donc j’espère vous y croiser !

Nouveau site et quelques réflexions sur la stratégie de contenu

Après plusieurs semaines de silence radio, quelques soucis de redirection de domaine (merci Nathan !) je vous présente – enfin ! – mon site professionnel présentant mon activité de freelance digital.

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Conçu en responsive design (adapté web, mobile et tablettes) grâce au CMS de Strikingly, vous y retrouverez mon parcours, mes publications et bien entendu mon activité : en stratégie et conception de contenu digital, en transmédia et brand content et en études et innovation.

ANNONCE SITE TRICKSTER TOPIA

J’axe mon expertise principalement sur la stratégie et la conception de contenu digital (web, social media et mobiles). Elle englobe de la conception de contenus traditionnels comme du brand content, des campagnes social media ou du transmédia.

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Je vais vous expliquer pourquoi je mets l’accent sur l’idée d’écosystème digital, sur cette trinité « web + social media + mobiles » et pourquoi il y a un « S » à mobile.

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Les liens du reste du monde : Etsy, Apple, Skype, cyberguerre et hack

1. [COMMERCE & SOCIAL] « The ‘Etsy Economy’ and Changing the Way We Shop »

Comment Etsy, la plateforme de e-commerce entre petits artisans et afficionados du vintage et du hand-made (25 millions de membres, 200 pays), s’allie aux communautés locales pour créer des ateliers de formation au commerce (des bonnes pratiques jusqu’à l’accompagnement dans la création d’une boutique en ligne). Pourront notamment en bénéficier : des lycéens et des habitants de logements sociaux.

« Une économie façon Etsy est une économie centrée sur les gens et sur un commerce interpersonnel. C’est une démarche similaire à celle qui consiste à aller faire ses achats directement chez un fermier ou un producteur au lieu d’aller au supermarché. […] Nous voulons sensibiliser l’écosystème du retail au sens large à cet ethos. »

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2. [EDUCATION & SOCIAL] « Oxford cambia sus normas de admisión y no exigirá demostrar medios económicos »

La prestigieuse université d’Oxford modifie ses règles d’admission suite à une plainte pour discrimination basée sur la richesse des candidats. Le processus d’admission requérait (évidemment) un excellent dossier académique mais aussi la garantie financière que l’étudiant pourrait non seulement payer la scolarité (environ 10 000 livres car les étudiants doivent aussi payer le « college » auquel ils sont affiliés et où ils résident) mais aussi témoigner d’un certain niveau de vie pendant la durée de ses études. L’université devrait donc revoir sa procédure d’admission.

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3. [VIDEO / DIGITAL LIFE] La vie numérique en Estonie via  « Estonia: life in a networked society »

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4. [JEU / POLITIQUE] « Sweatshop HD is the latest victim in Apple’s war on serious games » 

Une fois n’est pas coutume, Apple fait une nouvelle fois montre du verrouillage de son système en rejetant de l’AppStore un jeu sérieux familiarisant les joueurs avec les modes de production des « ateliers de misère » (ou sweatshops) d’où proviennent beaucoup de vêtements des marques occidentales. Pas si étonnant quand on sait qu’Apple a souvent été accusé d’avoir recours à ces ateliers, notamment en Chine avec son partenaire Foxconn (vous pouvez voir un reportage vidéo d’Envoyé Spécial sur le sujet ici ou un article d’investigation du Monde Diplomatique ici). L’annonce expliquant la décision de bannir le jeu a de quoi laisser perplexe quant à l’évolution de la mentalité d’Apple concernant la culture digitale : selon les guidelines de la marque, si vous voulez faire de la critique sociale, écrivez un livre, mais pour Apple, le jeu vidéo n’a pas pour vocation de faire réfléchir sur la société.

lucky we can be stupid with your help

Le joueur selon Apple.

shit like that

La réalité.

5. [POLITIQUE] « For first time, US military says it would use offensive cyberweapons »

Depuis que le ton monte (doucement) entre Washington et Pékin (cf les prises de parole d’Obama accusant la Chine de sciemment « sponsoriser » des cyber-attaques visant les USA), il semblerait que les gouvernements prennent enfin conscience de l’ampleur du problème et décident littéralement de monter au front. Les USA auraient par conséquent décider de préparer la contre-attaque avec une équipe de… 13 personnes :

« ‘Je voudrais clarifier le fait que cette équipe, rempart de la nation, n’est pas une équipe défensive’, a expliqué Alexander, qui dirige à la fois la National Security Agency et le Cyber Commandement […] ‘C’est une équipe offensive qui serait appelée à agir pour défendre la nation si celle-ci était attaquée dans le cyberespace. 13 personnes de cette équipe que nous avons créée sont entièrement dédiés à cette seule mission.' »

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6. [RESSOURCE RECHERCHE] Liste de 28 conseils et formations en social media pour des chercheurs, composée par l’Université de Warwick (via Antonio Casilli)

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7. [EMISSION DEBAT / POLITIQUE] « The rise of the global South »
D’ici 2030, 80% des classes moyennes dans le monde se trouveront dans des pays en développement. L’Amérique latine devrait tirer son épingle du jeu, notamment en matière non pas seulement de croissance mais de développement humain. Aljazeera (en anglais) pose la question suivante : à l’heure où les politiques de pays développés, en pleine tourmente financière et sociale, paupérisent leurs classes moyennes, que peuvent apprendre ces pays des mesures prises par les pays en développement en matière de lutte contre la pauvreté ?

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8. [CROWDFUNDING] « Les Hackers dans la Cité Arabe » : un documentaire collaboratif

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Ce projet, à l’initiative de deux femmes ayant déjà écrit sur la culture du hack (« Hackers, bâtisseurs depuis 1959 ») dont  une ancienne d’OWNI, se décrit ainsi :

« Hobby de la classe moyenne dans nos contrées aisées, le hacking est une nécessité vitale dans d’autres zones. Sur les ruines des dictatures et des guerres fratricides, des hommes et des femmes tentent d’apporter leur pierre à la reconstruction de leur pays. Système politique, éducatif, infrastructures, tissu économique de demain, les chantiers sont à la mesure de leur curiosité inlassable. »

L’enquête se fera à Beyrouth, Baghdad, Tunis, Le Caire, l’Algérie et le Maroc. Comme de coutume avec ce type de projet documentaire et journalistique « digitalo-collaboratif », vous aurez du texte, du son, de l’image, de la vidéo et des tutoriels des projets. Il reste 12 jours et il manque à peu près 6000 euros pour ce projet qui s’intéresse pour une fois au hack dans une perspective de reconstruction dans une zone absente des médias en dehors des images chocs de la guerre. Vous pouvez retrouver leur blog ici.

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10. [TRAVAIL] « The differences between work cultures found in eleven countries »

Article du site Deskmag (spécialisé dans le coworking) sur un travail de recherche (« Culture Code » – Steelcase) analysant les modes de fonctionnement dans différents espaces de travail dans le monde. Cette recherche s’appuie sur la pensée d’Edward T. Hall en anthropologie socioculturelle : il avait notamment développé le concept de « proxémie » pour observer les effets de distance corporelle dans les interactions au sein de différents groupes socioculturels dans le monde. La recherche a abouti à la modélisation suivante mais ce n’est pas tout. La partie « consultative » de la recherche et l’argument de la note de Deskmag, se focalisent sur la configuration physique des espaces de travail, et plus spécifiquement sur des formes émergentes telles que le coworking.

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La mobilité et le nomadisme des employés sont pour l’instant davantage proposés / acceptés en Allemagne, Hollande et aux USA. En France, Espagne et Chine, le système managérial est basé sur le contrôle et non pas la confiance. Or, la confiance mène à la collaboration et les systèmes « autoritaires » qui acceptent peu le facteur d’incertitude (« tolerance to uncertainty »), n’encouragent pas des configurations collaboratives (avec par exemple un partage de l’information spontané).

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9. [EDUCATION] « 10 Ways to Start Using Skype in the Classroom »

Si Skype est effectivement un moyen d’introduire du digital dans les classes, parfois il s’agit simplement d’un outil de télétravail pour « arranger » certains profs (#vécu) mais pas spécialement pour engager une forme globale d’éducation. La liste, vous le verrez, se focalise sur la possibilité de communiquer avec d’autres étudiants du monde entier, d’encourager des collaborations transnationales (tutoring, accès à des experts…), ce qui rejoint la mission d’ouverture des horizons des enfants (et pas simplement de les former à la pratique professionnelle de la conf-call…). Le tournant avec ce point de vue : passer de la transmission d’un savoir-faire ou de l’outillage technologique, à l’apprentissage d’un savoir-être dans un monde contemporain digitalisé mais surtout globalisé. A quand les Google Hangout avec des classes de tous les continents ?

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Visualisation : « deep web » et « deep space »

Ces derniers jours, la cartographie et la data visualisation nous ont offert des images assez incroyables.

Vendredi dernier par exemple, plutôt classique, PEER 1 Hosting, Steamclock Software et un certain Jeff Johnston ont créé une application (disponible sur l’AppStore) permettant de visualiser l’Internet « physique » (cad les points d’échange et la lourde infrastructure matérielle du réseau global numérique). Comme l’explique le maitre de la data viz, Nathan Yau sur son site Flowing Data, difficile de vraiment juger de la valeur et de l’exactitude de la traduction des données brutes vers l’état de visualisation graphique (à ce sujet, ça n’a rien à voir, mais si le sujet vous intéresse, je vous invite à aller consulter le travail et le carnet de recherche de Samuel Goeta portant sur les coulisses de l’Open Data qui se fonde sur une observation du travail de traitement des « données brutes »), mais l’application est esthétiquement et ergonomiquement bien faite. Elle permet, comme le montre l’image ci-dessous, de créer des effets dynamiques, et surtout, ce qui m’a particulièrement interpellé, de montrer des effets de profondeur rejoignant l’imaginaire d’un web en « couches » ou d’un web profond.

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Credit : Nathan Yau @Flowing Data

Autre espace, différent objet : l’espace lui-même et sur les traces du Big Bang. C’est en effet une image à la fois sibylline et en même temps familière (elle ressemble à la Terre), que l’agence spatiale européenne a dévoilé. Capturée par le télescope Planck, il s’agirait d’une carte du rayonnement cosmologique (ou rayonnement fossile de l’Univers), et d’après ce que j’ai compris il s’agit d’une forme « d’écho » de l’état de l’Univers pré et pendant le Big Bang (voir l’article de vulgarisation sur ce blog). En somme une fenêtre directe vers le passé qui permet d’éclairer la fabrique de ce qui constitue notre Univers toujours en expansion.

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Carte publiée en Mars 2013

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Première carte de Planck en 2010

Pour revenir à la difficulté du travail d’interprétation des données qui restent la pierre angulaire de tout travail de traitement de données (visuel ou non), cette semaine la communauté scientifique débattait autour de l’annonce contestable annonçant que la sonde Voyager 1 aurait quitté le système solaire. Pour rappel la sonde a été lancée en 1977 et elle est l’objet le plus lointain créé par l’Homme voyageant à travers l’espace. Seul hic, apparemment ce ne serait pas tout à fait le cas ou du moins il semblerait que cela soit très difficile à affirmer en se basant sur les données analysant l’environnement de la sonde. En effet, l’objet serait entré dans une zone frontalière (appelée « autoroute magnétique ») entre le système solaire et l’espace intergalactique. Les scientifiques déclarant que la sonde aurait quitté le système solaire, se basent sur des données reportant une modification radicale de l’environnement direct de la sonde (liés au niveau de radiations et au type de particules, etc). Or pour d’autres scientifiques, notamment la NASA, difficile d’être si catégorique au vu de résultats qui ne sont que des « indices » (d’autant que les capteurs de la sonde ne sont pas tous opérationnels) documentant un phénomène très peu connu de l’Homme. Le principal problème serait qu’on ne sait tout bêtement pas avec certitude où finit le système solaire et où commence l’espace interstellaire, et encore moins comment se caractérise ce dernier… En attendant d’autres éléments, la sonde devrait encore relayer des données pendant 7 autres années.

De quoi nourrir notre imagination et inventer toujours plus de manière d’imager le complexe.

Le gouvernement américain veut développer des jeux en réalité alternée

Selon Wired et ARGnet, l’agence gouvernementale de surveillance et de renseignement IARPA chercherait à engager des designers spécialisés dans la conception de jeux en réalité alternée à des fins de recherches psychologiques et comportementales. L’IARPA est un groupe de recherche « blue-sky », qui a dernièrement étudié les formes de métaphores langagières dans 5 langues différentes, via un software automatisé ultra-puissant (ADAMA). Le but de cette consultation serait ultimement d’utiliser les ARGs comme outil de recherche dans ce qui se rapproche des mises en situation et des simulations psychologiques (méthodes utilisées notamment dans des milieux professionnels requérant une analyse in situ où les individus doivent souvent réagir sous pression). Cela dit pas plus d’informations sur les objectifs d’un ARG développé par l’agence (dans quel contexte? Pourquoi faire ? Qu’évaluer ?). A noter que des soucis concernant la vie privée, le consentement et la maîtrise des données des participants, ont été soulevés par l’agence.

[Social Media] Pinterest, Google Hangout, du SM en événementiel et un very zombie bonus

Petit tour d’horizon des stratégies social media en retail (Anthropologie, Lush, Marlette…), un petit cours de Pinterest, illustration d’une utilisation de Google+ Hangout avec le New York Times, naissance de l’agence Ondine de couverture social media d’événements, et un bonus vidéo.

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[Social Media] Euronews, Anthropologie, Social Media Week & KLM

#1 FB – EURONEWS « No Comment »

Le principe : à la manière du « caption that » du New Yorker Euronews, la chaine multilingue pan-européenne propose à ses fans Facebook de légender sa sacro-sainte séquence « No Comment » (une séquence vidéo de l’actualité sans voix off ni titre). Une façon de bien lier concept éditorial – le retrait éditorial pour une séquence « muette » où le téléspectateur est libre de son interprétation –  et reprise sur une plateforme sociale.

FB EURONEWS 18 FEVRIER

#2 FB – ANTHROPOLOGIE « What You ❤ »

Le principe : la marque de vêtements « Etsy-like » retranscrit son identité mettant l’accent sur le style personnel et le côté affectif de la marque, avec une collection de cartes. Celles-ci mettent en avant des déclarations de fans pour une des pièces de la marque. L’exécution est soignée et reprend un univers graphique cosy et féminin, ce qui rend cohérent ce contenu par rapport à l’identité de marque d’Anthropologie. On appréciera le côté proche des campagnes d’affichage du Bon Marché.

FB ANTHROPOLOGIE 18 FEVRIER

#3 Twitter – #BASmw : la Bonne Action de la Social Media Week Paris (19-22 Février)

Le principe : un « expert » digital (ici Aude Sarkamari, blogueuse et gourou RP digitales) propose un petit cours à un novice (un commerçant par exemple) sur la meilleure utilisation des réseaux sociaux pour son activité.

Next steps ? Pour des étudiants, micro-entrepreneurs et porteurs de projets (au sein des pépinières par exemple), particuliers avec un besoin ponctuel…

BASMW

#4 Carte participative – KLM « Must See Map » (via)

Le principe : au lieu de bidouiller une Google Map avec les conseils de vos amis pour votre destination de voyage (voir ci-dessous), la carte de KLM vous permet de créer une carte sociale invitant vos contacts via Twitter et Facebook à signaler leurs lieux préférés.

Next steps ? Pas transcendant de nouveauté, mais un design agréable. Une éditorialisation de la carte avec des bons plans et des offres « flash » aurait été un vrai plus, sans compter la possibilité  de mixer avec le Trip Planner de façon à pouvoir s’organiser avec ses accompagnants (itinéraires, achat de billets, etc).

KLM must see map vs google